Mercredi 27 novembre, la salle des fêtes de l’hôtel de ville a retrouvé la configuration de la signature du traité de paix entre les Alliés et la Bulgarie intervenu cent ans auparavant : le bureau historique sur lequel Georges Clémenceau, président du Conseil, et Alexandre Stamboulisky, premier ministre bulgare, ont signé le précieux document, avait été placé au centre de la pièce. Il était encadré par de grandes tables agrémentées de chapeaux hauts-de-forme et de textes expliquant le contexte et le contenu du traité. Après une intervention de l’historien bulgare Daniel Vatchkov, chaque représentant des pays alliés a tenu à rappeler l’importance de ce traité d’après-guerre et combien la paix qui règne désormais en Europe est précieuse. Suzanna Klintcharova, harpiste bulgare qui enseigne au conservatoire de Neuilly, a interprété quatre morceaux de compositeurs français et bulgares (notamment “Fantaisie op. 31” de Camille Saint-Saëns et “Sarabande” de Pancho Vladiguerov) un intermède musical très apprécié. Le maire de Neuilly Jean-Christophe Fromantin a invité les personnes présentes à découvrir l’ensemble de l’exposition consacrée à cette manifestation, organisée en partenariat avec l’ambassade de Bulgarie, qui permet à Neuilly de rappeler cet événement historique “peu connu”, avant que résonne l’hymne européen.
Centenaire de la signature du traité de Neuilly.
Mercredi 27 novembre, la salle des fêtes de l’hôtel de ville a retrouvé la configuration de la signature du traité de paix entre les Alliés et la Bulgarie intervenu cent ans auparavant : le bureau historique sur lequel Georges Clémenceau, président du Conseil, et Alexandre Stamboulisky, premier ministre bulgare, ont signé le précieux document, avait été placé au centre de la pièce.